Qu’ont en commun l’Allemagne, la Belgique, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Suisse, l’Italie, les Pays-Bas et l’Irlande ? Ces huit équipes se sont qualifiées à Barcelone pour la grande finale du circuit des Coupes des Nations en passant avec succès l’étape des qualifications.
Santiago Varela, chef de piste habituel de ce concours, a encore une fois rendu la tâche difficile aux dix-huit équipes, soit soixante-douze cavaliers au départ. Le vertical numéro sept, qui arrivait juste après un demi-tour devant l’entrée de piste, mais aussi le triple et l’ultime obstacle, une délicate palanque blanche, ont anéanti les espoirs de nombreuses équipes : « L’épreuve était aussi difficile que la qualificative de l’an dernier. Tous les obstacles, mis à part le numéro un, étaient à 1,55m ou 1,60m. Le sol a été changé au mois de juillet et je voulais voir comment il tenait, il a bien répondu. », confiait le chef de piste.
Trois équipes ont réussi à sortir de piste avec un score vierge lors de cette première journée. Il s’agit de l’Allemagne, qui présente une équipe très solide avec dans ses rangs Christian Ahlmann, Marcus Ehning, Daniel Deusser et Ludger Beerbaum, la Belgique, pourtant repêchée à la dernière minute pour Barcelone suite au désistement de plusieurs équipes, et enfin les Etats-Unis, présents avec une équipe 100% féminine. Si l’Allemagne faisait figure de favorite, la Belgique, tenant du titre, réalise un sacré exploit : « Cette année nous sommes venus ici suite à des désistements d’autres équipes qualifiées. Nous avons une équipe assez nouvelle et honnêtement nous ne nous attendions pas à faire si bien, je suis ravi. L’an dernier notre équipe était beaucoup plus expérimentée, alors que cette année nos chevaux sont encore jeunes, mais ils restent tous sur de bons résultats ces dernières semaines. Samedi ce sera une toute autre épreuve. », expliquait le chef d’équipe belge Dirk Demeersman.
Comme la Belgique, la Grande-Bretagne, invitée de dernière minute, décroche elle aussi sa qualification pour la finale. Les Brésiliens sont certainement les grands déçus du jour puisque malgré un score de huit points, comme les Pays-Bas et l’Irlande que l’on reverra samedi soir, ils sont éliminés à cause d’un chronomètre trop lent et ne pourront pas défendre leurs chances en finale.
De son côté, la France, qui alignait la même équipe qu’à Rio, a été moins heureuse que le mois dernier puisqu’avec douze points au total elle termine à la 11ème place, synonyme de Challenge Cup, la petite finale qui se disputera ce soir à 21 heures. Vainqueurs en 2013, les Tricolores échouent pour la troisième année consécutive dans cette épreuve couperet. Nul doute que ce soir les Bleus auront à cœur d’effacer la déception de la première manche et de terminer la saison extérieure sur une bonne note.
Résultats complets de la première manche
Photo : Ludger Beerbaum et Casello, membre de l'équipe d'Allemagne, disputeront la finale de la Coupe des Nations samedi – Crédit photo CSIO Barcelone
Ce week-end, les dix-huit meilleures équipes du circuit des Coupes des Nations ont rendez-vous à Barcelone pour la finale. La France, Championne Olympique, tente le doublé en alignant la même équipe qu’à Rio : Roger-Yves Bost/Sydney Une Prince, Pénélope Leprévost/Flora de Mariposa, Philippe Rozier/Rahotep de Toscane et Kevin Staut/Reveur de Hurtebise, alors que Mathieu Billot est le réserviste. Elle aura fort à faire face à l’Allemagne, représentée par Christian Ahlmann, Ludger Beerbaum, Daniel Deusser et Marcus Ehning, la Grande-Bretagne de Scott Brash, Nick Skelton, John et Michael Whitaker ou encore les Pays-Bas représentés par Jeroen Dubbeldam, Gerco Schröder, Harrie Smolders et Maikel Van der Vleuten. La première manche, qualificative pour la finale, aura lieu jeudi après-midi et désignera les huit équipes qui s’affronteront samedi soir pour décrocher la victoire.
En France se dispute le CSI3* de Canteleu où Bertram Allen, Reed Kessler, Constant Van Paesschen, Frank Schuttert, Dermott Lennon, Rik Hemeryck ou encore Felix Hassmann sont annoncés, de même que les cavaliers tricolores Aymeric de Ponnat, Timothée Anciaume, Cédric Angot, Patrice Delaveau, Marc Dilasser, Julien Epaillard, Julien Gonin, Olivier Guillon, Michel Hécart… A suivre également le CSI3* de New York ainsi que plusieurs CSI2*.
CSIO de Barcelone (Esp) : Résultats en ligne – Live Streaming
CSI3* de Canteleu : Site Internet du concours
CSI3* de New York (Usa) : Résultats en ligne
CSI2* de Bonheiden (Bel) : Site Internet du concours
CSI2* de Darmstadt-Kranichstein (Ger) : Résultats en ligne
CSI2* de New Albany (Usa) : Site Internet du concours
CSI2*-W de Rio de Janeiro (Bra) : Résultats en ligne
CSI2* de Pékin (Chn) : Résultats en ligne
CSI2* de Vilamoura (Por) : Résultats en ligne
Traditionnellement disputé à Lanaken en parallèle des Championnats du Monde des jeunes chevaux, le Championnat de Belgique, dont la finale réunissait les seize meilleures paires à l’issue des deux épreuves qualificatives, a couronné Pieter Devos, aux rênes d’Espoir (Surcouf de Revel x Laudanum ps). Le couple a signé un Championnat parfait en remportant l’épreuve de chasse et en étant sans-faute à l’occasion de ses trois autres parcours. Il devance Pieter Clemens, qui monte désormais pour Jos Lansink et était pour l’occasion en selle sur le puissant Horizon de Regor (Obourg x Cento). Le couple termine son championnat à moins d’une barre du vainqueur (2,67 pts). Fabienne Daigneux Lange monte sur la troisième marche du podium en compagnie de son excellente Venue d’Fees des Hazalles (President x Alcatraz). Deux étalons approuvés complète le top cinq : Fantomas de Muze (Sandro Boy x For Pleasure), qui évoluait sous la selle de Karline de Brabander, est 4ème, alors que Carlow Van de Helle (Caretino x Corofino I), monté par Constant Van Paesschen, se classe 5ème.
Ils ont dit :
Pieter Devos, Champion de Belgique : « J’ai été deux fois 2ème de ce Championnat avec Dream of India alors je me suis dit qu’il fallait changer de cheval pour gagner (rires) ! C’est important de gagner le Championnat de Belgique et c’était notre objectif en arrivant ici avec Espoir. Le cheval est chez moi depuis l’an dernier et j’en suis aujourd’hui copropriétaire. C’est un cheval rapide, avec beaucoup de moyens, qui peut sauter trois ou quatre jours d’affilée sans-faute. Avant de venir, il a fait de bonnes performances à Beervelde, St-Moritz ou encore Bruxelles et il est arrivé prêt pour sauter ce championnat. Aujourd’hui, je n’ai regardé que le premier parcours et je n’ai plus fait attention aux autres, je me suis mis dans ma bulle.. »
Pieter Clemens, Vice-Champion de Belgique : « Je monte Horizon depuis le mois de janvier. Il a fait quelques bons classements, notamment à Valkenswaard. Ces derniers temps, nous sortions de piste à 4 points mais le cheval sautait bien. J’ai de la chance d’avoir ce cheval qui est normalement monté par Jos Lansink. »
Fabienne Daigneux Lange, médaille de bronze : « Le plus dur pour moi les années précédentes dans ce championnat est que j’étais souvent trop lente dans l’épreuve de chasse et que je prenais parfois du temps dépassé dans les autres. Maintenant c’est mieux. Malgré la petite faute dans la première manche de la finale, je suis très contente. Cela faisait longtemps que j’espérais monter sur le podium Ma jument est régulière, très souvent sans-faute et c’est plus facile pour notre couple de bien figurer dans un championnat que de gagner un Grand Prix étant donné que je suis un peu lente. »
Résultats complets de l’épreuve
Photo : Pieter Devos, Champion de Belgique avec Espoir - Webstallions
Réservé aux étalons approuvés dans un stud-book reconnu par la WBFSH, le Grand Prix des Sires of the World, disputé sur des cotes à 1,50m, a réuni à Lanaken cinquante-neuf concurrents en quête de victoire.
Déjà vainqueur de l’épreuve préparatoire la veille, Alicante (Casall x Indoctro), monté par le véloce Jérôme Guéry, s’impose avec la manière face à dix autres barragistes. Déjà à l’origine d’une jeune production prometteuse née alors qu’il évoluait en compétition aux Pays-Bas, Alicante provient de la même lignée maternelle que l’étalon Cantus. Auteur de très belles performances en CSI5* cette année dont une victoire dans le Grand Prix du dimanche au CSI5* de Chantilly, l’étalon Holsteiner de onze ans confirme : « Je trouve qu’aujourd’hui le parcours n’était pas très gros mais assez technique. Pour Alicante il était plutôt facile étant donné qu’il a déjà sauté des Grands Prix à 1,60m cette année. J’ai gagné hier sans vraiment essayer, contrairement à aujourd’hui. C’est important de bien faire ici, cette victoire est bien pour son propriétaire qui veut développer la carrière d’étalon du cheval. C’est bien qu’il ait sauté ici pour les éleveurs qui le connaissent tous à la télévision mais qui ne l’avaient pas forcément vu en chair et en os. Alicante a commencé à saillir davantage après ses bons résultats cette saison et je pense qu’il devrait faire pas mal de juments l’an prochain. A titre personnel, je l’ai utilisé pour mes quatre juments cette année car c’est un cheval à la fois puissant, respectueux, maniable et qui est doté d’un très bon mental. Il a tout ce que l’on demande pour le sport moderne. Alicante ira la semaine prochain au CSIO de Barcelone pour disputer le Grand Prix. », confiait Jérôme Guéry.
Non content de monter sur la plus haute marche du podium, Jérôme Guéry termine également à la 3ème place avec Garfield de Tiji des Templiers (Quasimodo Z x Goldspring de Lauzelle), issu de la même souche maternelle que la grande gagnante internationale Nikita de Laubry : « Je suis vraiment content de la performance du cheval qui n’a pas encore beaucoup d’expérience. Je le monte depuis un mois et demi seulement, auparavant il avait sauté des Grands Prix CSI2*. Quand il est arrivé dans mes écuries, il était un peu gros, pas trop en condition et je n’ai pas eu un très bon sentiment, mais après deux semaines passées à la maison le cheval a vraiment changé. C’est un cheval qui va faire du top sport. La montabilité n’est pas encore parfaite mais il est respectueux et il a tous les moyens. Il lui manque seulement encore un peu de dressage. », racontait le cavalier belge.
Entre ces deux gris s’intercale Inonstop Van’t Voorhof (Nonstop x Fortuin Z), approuvé à l’AES et qui évoluait sous la selle d’Arthur da Silva : « Je monte Inonstop depuis quelques mois seulement. Ses propriétaires m’ont proposé de monter le cheval car sa mère était par Fortuin Z, tout comme La Toya avec qui je suis sorti à haut niveau. Inonstop est très différent de La Toya mais j’ai tout de suite eu un bon sentiment quand je l’ai essayé. J’ai commencé par sauter de petites épreuves puis je suis sorti à Lier, j’ai fait un concours en France et je suis venu ici pour ce Grand Prix qui était un objectif pour les propriétaires du cheval. », expliquait le cavalier suisse installé en Belgique.
Neuf des onze barragistes sont à nouveau sans-faute lors de l’affrontement au chronomètre, dont le cavalier saoudien Ramzy Al Duhami, 4ème avec Garlic Van Het Kapelhof (Tauber Van Het Kapelhof x Orlando) et le « local » Christian Ahlmann, 5ème en compagnie de Caribis Z (Caritano x Canabis Z). Meilleur cavalier tricolore du jour, Marc Dilasser termine 15ème avec Air Corrado V. (Corrado x Mr Blue).
Résultats complets de l’épreuve
Photo : Jérôme Guéry et Alicante, vainqueurs à Lanaken du Grand Prix des Sires of the World - Webstallions
Après un week-end très chargé la semaine dernière, cette semaine, seul un CSI5* se dispute dans le monde. Vienne organise la 14ème étape du Global Champions Tour, ultime étape avant la finale qui se disputera à Doha. Rolf-Göran Bengtsson tentera de conserver la tête du circuit face à Edwina Tops-Alexander. Scott Brash, Bertram Allen, Ludger Beerbaum, Daniel Deusser, Marcus Ehning, Luciana Diniz, Henrik Von Eckermann, Harrie Smolders, John et Michael Whitaker, Maikel Van der Vleuten ou encore Marco Kutscher sont au départ. Simon Delestre, Julien Epaillard et Kevin Staut sont les trois cavaliers tricolores au départ.
A suivre également l’étape Coupe du Monde de North Salem, le CSI3* de Donaueschingen, les CSI2* de Jardy et Moorsele ainsi que les Championnats du Monde des Jeunes Chevaux qui se déroulent une nouvelle fois à Lanaken.
CSI5* GCT de Vienne (Aut) : Résultats en ligne – Live Streaming
CSI4*-W de North Salem (Usa) : Résultats en ligne – Live Streaming
CSI3* de Donaueschingen (Ger) : Résultats en ligne – Live Streaming
CSI2* de Jardy : Résultats en ligne
CSI2* de Moorsele (Bel) : Résultats en ligne
Championnat du Monde des Jeunes Chevaux, Lanaken (Bel) : Résultats en ligne – Live Streaming
Passé tout près de la victoire à Aix-la-Chapelle, Scott Brash n’a pas laissé passer sa chance à Calgary. De son côté, sa jument Ursula XII signe la première victoire de sa carrière dans un Grand Prix cinq étoiles.
Quarante cavaliers ont décroché tout au long de la semaine leur qualification pour le mythique Grand Prix de Calgary. En première manche, le chef de piste Leopoldo Palacios, qui construit chaque année ce concours, a donné énormément de fil à retordre aux couples, principalement à cause du triple blanc placé en numéro 11 avec un gros oxer à l’entrée et deux verticaux sur bidets pour sortir de la combinaison. La grande majorité des fautes se sont concentrées sur cet obstacle qui a de plus occasionné une dizaine d’abandons ou éliminations !
A l’issue de cette manche, seuls quatre couples réalisent un parcours sans-faute et peuvent encore prétendre à la victoire : Kent Farrington et Voyeur (Tolano Van’t Riethof x Goodwill), Lorenzo de Luca et Ensor de Litrange LXII (Nabab de Reve x Mr Blue), Scott Brash et Ursula XII (Ahorn x Papageno) et enfin McLain Ward et Azur (Thunder Van de Zuuthoeve x Sir Lui). Les deux tricolores engagés, Roger-Yves Bost, en selle sur Quoud’cœur de la Loge (Ideal de la Loge x Tenor de la Cour) et Kevin Staut, associé à For Joy Van’t Zorgvliet (For Pleasure x Heartbreaker), sont encore dans la course pour décrocher un podium après une faute dans cette manche. La deuxième manche semble plus abordable mais, cette fois, c’est le chronomètre qui pénalise les cavaliers, à commencer par Greg Patrick Broderick, en selle sur sa monture olympique Going Global (Quidam Junior x Cavalier), qui s’assure tout de même une place dans le top huit. De son côté, Kevin Staut est sans-faute et peut espérer monter sur le podium alors que Roger-Yves Bost recule de quelques places après avoir fait tomber l’ultime obstacle du parcours.
Scott Brash et Ursula XII, signent le premier double sans-faute et se qualifient pour un éventuel barrage. Lorenzo de Luca, encore une fois brillant, reste lui à la porte à cause d’un point de temps dépassé. De son côté, McLain Ward ne se fait pas piéger et rejoint le Britannique pour un ultime affrontement. Dernier à s’élancer, Kent Farrington a tous les atouts en main pour s’offrir une place pour la lutte finale. Malheureusement, une faute sur l’entrée du premier double lui enlève toute chance de victoire, mais il parvient tout de même à se classer 4ème.
Scott Brash a la délicate tâche d’ouvrir le barrage. Il prend un bon tempo, réalise un excellent parcours sans-faute mais ne semble pas prendre tous les risques. Il met toutefois la pression sur son adversaire. McLain Ward et Azur sont les favoris de ce barrage et partent sur un rythme plus soutenu, mais malheureusement leur rêve de victoire s’arrête dès le deuxième obstacle. Scott Brash s’impose pour la deuxième année consécutive, cette fois avec Ursula XII, une jument de quinze ans qui revient de presque deux ans d’arrêt, preuve que la persévérance paye : « C’est un peu différent de l’an dernier mais aussi bien. Je suis vraiment ravi pour ma jument Ursula qui a toujours été une jument incroyable mais n’a jamais eu la reconnaissance qu’elle méritait. Elle a été le meilleur cheval du monde mais n’avait jamais gagne de Grand Prix jusqu’à aujourd’hui. Elle a été de nombreuses fois 2ème mais aujourd’hui elle a bien choisi celui qu’elle devait gagner ! La jument a été blessée pendant deux ans et je suis ravi qu’elle ait pu revenir au top et qu’elle ait remporté le plus gros Grand Prix du Monde ! Pour être honnête, il y avait plus de pression l’an dernier. Je pense que les yeux étaient rivés sur Sanctos l’an dernier d’autant qu’il avait gagné Genève et Aix-la-Chapelle, alors qu’aujourd’hui je n’étais pas attendu.
Passer avant un couple tel que McLain et Azur est normalement un désavantage, mais je crois que cette fois partir en premier au barrage a joué en ma faveur. Je savais que je devais laisser les barres sur les taquets, mais aussi que je devais faire plus que ça pour essayer de battre McLain. J’ai pris quelques risques et la jument a magnifiquement sauté. », confiait le vainqueur.
5ème l’an dernier, le couple Ward/Azur prend cette fois une superbe 2ème place : « C’est encore une jeune jument qui apprend encore à sauter trois manches et à aller vite dans un barrage. Elle prend de la maturité et je pense qu’elle est tellement fantastique qu’un beau futur l’attend. Si l’on doit être deuxième derrière quelqu’un, autant l’être derrière Scott. Il est brillant et est sûrement le cavalier le plus en forme de ces dernières années. Je ne suis pas déçu, ma jument a sauté de manière magnifique et c’est le seul obstacle qu’elle a touché de la journée », déclarait l’Américain.
Vainqueur du Grand Prix CSIO de Dublin fin juillet, Lorenzo de Luca poursuit son incroyable saison en s’adjugeant la 3ème place du Grand Prix : « J’ai eu une bonne semaine, mes chevaux ont magnifiquement sauté. Quand on vient ici, cela doit être difficile. La même combinaison qu’aujourd’hui a été utilisée l’an dernier à Aix-la-Chapelle pendant les Championnats d’Europe et il faut avoir un bon cheval pour sauter ici. C’est la première fois que je viens ici, il y a du beau sport, de grosses épreuves et de bons barrages, je pense que c’est le meilleur concours du monde. », expliquait-il.
Grâce à sa victoire à Calgary, Scott Brash est désormais en course pour toucher un bonus conséquent dans le cas d’une victoire dans le Grand Prix CSI5* de Genève. Rendez-vous en décembre pour découvrir si le Britannique sera capable de réaliser un nouvel exploit.
Avec communiqué
Résultats complets du Grand Prix
Photo : Scott Brash et Ursula XII, vainqueurs du Grand Prix CSIO de Calgary – Crédit photo Mike Sturk